Moutarde à l’ancienne, Reine de Dijon
La pâte est d’une jolie couleur jaune parsemée de nombreux petits grains de moutarde. Le nez a un parfum marqué de moutarde. Les arômes sont puissants en bouche avec un mélange de force et de finesse.
Produits gourmands (chocolat, bière, huiles…)
La pâte est d’une jolie couleur jaune parsemée de nombreux petits grains de moutarde. Le nez a un parfum marqué de moutarde. Les arômes sont puissants en bouche avec un mélange de force et de finesse.
Un chocolat chaud bien crémeux et mousseux, mais qui offre aussi un bon équilibre entre l’amertume du cacao et la douceur du lait.
La farce tiède de pommes et de raisins secs est relevée d’une pointe de cannelle. Elle est enroulée dans une feuille de pâte bien croustillante à l’extérieur avec une excellente petite sauce vanillée en accompagnement. Un seul petit bémol à mon goût : la présence trop importante de la pâte au coeur de ce dispositif.
Après Sprüngli et ses 175 ans la semaine dernière, j’évalue quelques produits d’un autre chocolatier centenaire puisque Blondel régale les Lausannois depuis 1850.
Si vous êtes Suisse Romand, les truffes de chez Sprüngli sont ce que vous risquez le plus de ramener de Zurich, à part un chat dans la gorge à force de dire « gruezi ». Le coffret de la sélection « Grand Cru » contient quatre exemplaires de quatre types de truffes: un 4×4 version chocolat.
Un nez parfumé aux senteurs caramélisées. La consistance est assez solide avec un début de cristallisation. Le goût est prononcé sans être excessif.
Cette crème a une texture qui est plus pâteuse que liquide. Avec son goût aigre-doux, elle semble est plus destinée à assaisonner et décorer un plat de cuisine asiatique qu’à participer à votre sauce à salade.
Une série de petits cakes avec différents compléments (pépites de sucre, raisins secs et fruits confits) dont la pâte est assez moelleuse et le goût agréable. Format pratique pour un petit en-cas en voyage.
Un chocolat chaud à la texture légère et avec un goût affirmé qui tire plus du côté chocolat au lait que vers l’amertume d’un chocolat noir.
Un assemblage réussi, même si le chocolat et la banane prennent à mon goût un peu trop le dessus sur la mangue.
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