Dégustations de vin (Lavaux, La Côte, Valais, Neuchâtel, Fribourg, Bienne, Tessin, Bordeaux, Bourgogne, Italie, …) lors de Caves Ouvertes ou de salons du vin.
La robe de ce rosé de Rioja Castillo Albai est d’une couleur rubis prononcée. Son nez est moyen avec des parfums de fruits rouges. La bouche est dominée par des sensations vineuses avec un fruité en arrière plan, plus présent lorsque le vin n’est pas trop froid. Un vin plus proche du type clairet que du type rosé et qui manque un peu à mon goût de palette aromatique en bouche.
La robe de ce Château Tourans est rubis foncé. Son nez est puissant avec des arômes de confiture de cerises et des touches de cannelle. La bouche est dense et élégante, dominée par le fruité de baies des bois, associé à des notes de poivrons et un peu d’épice. Longue persistance.
Ce rosé a une robe d’une jolie couleur rose pâle. Le nez est discret avec des parfums de fruits rouges (fraises, groseilles). Le fruité est plus présent en bouche sur une structure vineuse et avec une petite acidité en finale.
Ce Plan de Dieu produit par la cave coopérative de Sablet m’avait déjà bien séduit lors de la dégustation sur place. Pus d’un an après, les tannins se sont affinés et le plaisir gustatif est toujours là. Le nez de ce Côtes du Rhône rouge est puissant avec des parfums chocolat et de cacao qui se mêlent à ceux des fruits noirs. La bouche est dense et pleine avec des arômes de fruits noirs (cassis, mûres) et d’épices. Très longue finale. Un Côtes du Rhône d’un superbe rapport prix-plaisir.
Ce prosecco Valdobbiadene DOCG a une robe de couleur jaune pale avec une forte concentration de bulles. Le nez est agréable avec des parfums de fleurs et de fruits blancs ainsi que des notes de noisettes. La bouche est dense et élégante avec une légère dominante fruitée au niveau des arômes. Un bon vin pour déguster avec plaisir quelques bulles en apéritif ou sur un poisson d’eau douce sans se ruiner.
Ce Basa 2011 est un vin blanc espagnol de la région de Rueda. Sa robe a une jolie couleur dorée. Le nez est initialement discret avant de révéler des arômes de fruits blancs avec des notes florales. La bouche est grasse et ample. Les sensations vanillées dominent en bouche, complétées par une touche de minéralité et un soupçon de carbonique en arrière bouche. Tout ceci fait de ce vin un compagnon tout à fait adapté à un plat de poisson à chair blanche ou pour un apéritif gourmand.
Le Clairet est une spécialité de Bordeaux qui se situe entre un vin rouge et un rosé. Ce millésime 2010 produit par Le Chai au Quai a une robe d’une jolie couleur rouge pâle. Le nez est charmeur avec des parfums de fruits rouges dominés par la griotte. La bouche est à la fois dense et fraîche avec un fruité agréable sans être trop envahissant. Un vin tout à fait recommandé, comme ses cousins du même type, pour ceux qui veulent boire un vin qui allie fraîcheur, légèreté et solidité sur un repas estival ou de la cuisine exotique.
Ce Château Léoville Barton est un deuxième Grand Cru Classé au classement de 1855. Dès la bouteille débouchée, il propose un parfum puissant de fruits noirs (cerises, mûres) avec des nuances de liqueurs et des notes de réglisse. La bouche de ce millésime 2004 est dense avec encore quelques tannins fins résiduels. Les arômes de fruits sont présents avec un soupçon de chocolat et de cuir. Longue persistance.
J’avais eu le plaisir de découvrir et déguster ce rosé avec plaisir lors de mon passage au Domaine des Chers dans le Beaujolais l’an dernier. Le plaisir est toujours intense lorsque je débouche cette bouteille. La robe est rose pâle et son nez est charmeur avec des parfums élégants de fruits rouges (fraises). La bouche est ample et grasse avec un fruité rouge agréable à l’arrière plan d’autres sensations aromatiques (vanille, fruits blancs) qui rappelleraient presque plus un vin blanc à l’aveugle.
Le Château Phélan Ségur est un Cru Bourgeois de l’appellation Saint-Estèphe. Ce Bordeaux a une robe de couleur cassis sombre. Le nez est affirmé avec des senteurs de fruits noirs (mûres, myrtilles) et des notes chocolatées. En bouche, c’est la densité qui frappe en premier.